Comme une étoile dans la nuit
Je veux briser le noir que la lumière sentit
Comme ce super-héros dans le film Pour
qu'il appelle belle ses déshabilles
Puis je veux la monnaie,
je veux la ville à ma part
Je veux voler dans les airs,
puis je sais pas d'hier où on va
Je veux le soleil,
la mer et ses histoires Je veux surtout Capri et Zanzibar
Quand
on y pense,
on sait qu'on n'en verra jamais à la fin
Les paroles,
les gens seules,
on en demande toujours plus au quotidien
Je veux la gloire, je veux la vie
Je veux leur victoire et leur emmerde aussi
Aller toucher les gratte-ciels et les primes
Signer sur un billet à l'encre de Chine
Laouine,
devenir quelqu'un,
oui je veux Vas-y,
rattrape-moi si tu peux
Je serai un touchable si tu le veux
Tout du temps un pochable si tu veux
Quand
on y pense,
on sait qu'on n'en verra jamais à la fin
Les paroles,
les gens seules,
on en demande toujours plus au quotidien
Quand on y pense,
on sait qu'on n'en verra jamais à la fin
Les paroles,
les gens seules,
on en demande toujours plus au quotidien
Oh,
puis tu te réveilles au Pâques Sous une lumière opaline
Ne t'en passes qu'écarte du chemin d'un azur mazarine
Comme l'horizon devant toi,
là,
sans aucun martyfice volatile
Orphelin au parloir à Zanzibar
Quand on y pense,
on sait qu'on n'en verra jamais à la fin
Les paroles,
les gens seules,
on en demande toujours plus au quotidien