Pense,
la mélancolie de l'enfance,
elle t'enseigne,
l'âme innocente.
Quand tu saignes,
elle te cloue sur le sol
et te tourne sur le miroir.
Elle t'apaise,
l'âme innocente,
qui n'a presque rien connu et qui sait tout déjà.
Elle t'observe,
l'âme innocente,
quand tu te perds,
elle te secoue dans tous les sens.
Elle t'éveille,
l'âme innocente,
tu ne peux que te plier à son exigence.
Alors,
pense,
la mélancolie de l'enfance.
Pense, la mélancolie de l'enfance.
Pense,
la mélancolie de l'enfance.
Elle t'observe,
l'âme innocente,
quand tu saignes,
elle te cloue sur le sol et te tend son miroir.
Elle t'observe,
l'âme innocente,
quand
tu te perds, elle te secoue dans tous les sens.
Elle t'éveille,
l'âme innocente,
tu ne peux que te plier à son exigence,
à son exigence.
Alors, pense.
Pense.
Pense.
Elle t'éveille,
l'âme innocente,
quand tu te perds,
elle te tend son miroir.
Elle t'éveille,
l'âme innocente,
quand tu te perds,
elle te tend son miroir.
Elle t'éveille,
l'âme innocente,
quand tu te perds,
elle te tend son miroir.
Elle t'éveille,
l'âme innocente,
quand tu te perds,
elle te tend son miroir.
Pense.
Pense.
Pense.
Pense.