Alors, qui dit études dit travail, qui dit taf te dit les thunes, qui dit argent dit dépenses, qui dit crédit dit créance, qui dit dette te dit huissier, lui dit assis dans la merde, qui dit amour dit les gosses, dit toujours et dit divorce, qui dit proche te dit deuil car les problèmes ne viennent pas seuls, qui dit crise te dit monde, dit famine dit tiers monde, qui dit fatigue dit réveil, encore sourd de la veille, alors on sort pour oublier tous les problèmes. Alors on danse, et là tu dis que c'est fini car pire que ça, ce serait la mort, quand tu crois enfin que tu t'en sors, quand y'en a plus, et ben y'en a encore. Mais c'est l'asile où les problèmes, les problèmes, où vient la musique, ça te prend les tripes, ça te prend la tête, et puis tu prie pour que ça s'arrête, mais c'est ton corps, c'est froid le ciel, alors tu ne bouge plus les oreilles, et là tu cries encore plus fort, mais ça persiste, alors on chante. Alors on chante. Alors on chante. Alors on chante. Et puis seulement quand c'est fini, alors on danse. Alors on danse. Alors on danse. Alors on danse. Alors on danse. Alors on danse. Alors on danse. Alors on danse. Alors on danse. Et bien y'en a encore. Et bien y'en a encore. Et bien y'en a encore. Et bien y'en a encore. Et bien y'en a encore.