Sans écouter vos regards incapables de m'émouvoir,
L'ennui présent dans mes yeux semble meilleur des aveux.
À regarder votre voix,
c'est du n'importe quoi sauf moi,
Je touche le fond de vos verres avec l'envie de prendre l'air.
Trop de vagues à l'âme vont sur mes yeux d'âme,
Il est temps de fuir vers un autre avenir.
Je salue l'étoile du ciel un peu sale,
L'arrière d'un taxi m'emporte dans la nuit,
M'emporte dans la nuit.
Un très léger mal,
leur cœur accompagne mon existence,
Dormir,
oui,
mais à quelle heure déjà le matin s'élance ?
Ne pas penser, pensez, nuit,
à mon corps endolori,
Respirer presque en apnée l'annonce d'une nouvelle journée.
Trop de vagues à l'âme vont sur mes yeux d'âme,
Il est temps de fuir vers un autre
avenir.
Je salue l'étoile du ciel un peu sale,
L'arrière d'un taxi m'emporte dans la nuit,
M'emporte dans la nuit.
Trop de vagues à l'âme, là-bas c'est bien moins,
La lume mette la flamme, ce chaud et ce froid,
Le monde, ses lumières,
ses fenêtres surcourt,
Ne parle pas d'amour, est-ce que j'exagère ?
Est-ce que j'exagère ?
Je salue l'étoile du ciel un peu sale,
L'arrière d'un taxi m'emporte dans la nuit,
M'emporte dans la nuit.